Feu! Chatterton, le 2023-01-18 à Paris (Olympia), France
EX+ IEM
IEM > CF > FLAC
IEM Stereo Receiver > Tascam DR-2D // bedoc
FEU! CHATTERTON
18 janvier 2023
Olympia
Paris, France
IEM (153:17)
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01. Intro
02. Compagnons
03. Côte Concorde
04. Laissons filer
05. Boeing
06. Ecran total
07. Cantique
08. Avant qu’il n’y ait le monde
09. La mort dans la pinède
10. Libre
11. Monde nouveau
12. La Malinche
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13. L'affiche rouge (Léo Ferré cover)
14. L'homme qui vient
15. Trans-Europe Express (Kraftwerk cover) (with Arnaud Rebotini)
16. Porte Z
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17. Sari D'Orcino
18. Sari D'Orcino (17 janvier 2023 - Paris, France - Olympia)
SOURCE
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IEM (stéréo) > Tascam DR-2D
GENERATION
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.WAV[16/44.1kHz] > .FLAC [16/44.1kHz]
TRANSFER
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USB > Adobe Audition CC 2014 > iZotope RX 4 > CD Wave Editor 1.98 > Trader's Little Helper 2.7.0
NOTE
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Est-ce possible de tomber amoureux deux fois d'un même groupe ? Après un premier album magistral, le deuxième m'avait clairement laissé sur ma faim.
J'ai failli ne pas profiter de cette tournée, ayant dû renoncer à la dernière minute au premier Olympia prévu en début de tournée et n'ayant pas fait l'effort de me déplacer au Zénith. Privilège de parisien, la séance de rattrapage m'a permis de ne pas passer à côté de cette superbe tournée. Et même en ayant écouté l'album live sorti quelques semaines avant, il faut le voir pour l'apprécier à sa juste valeur.
J'avais eu un avant-goût en faisant des repérages la veille, mais il est clair qu'aujourd'hui sur scène, Feu! Chatterton a pris une nouvelle dimension ! C'est étonnant mais je n'avais pas forcément été emporté par le dernier album. Et pourtant, en écoutant les lives, petit à petit, on prend conscience de ce que le groupe construit et propose sur scène. Des ambiances, des rythmes et des chansons qui s'étirent et qui nous immerge totalement. Adepte des setlist, on remarque que le deuxième album n'a pas survécu longtemps, réduit à peau de chagrin. L'entrée en matière avec "Côte Concorde" est peut-être un peu abrupte (j’aurai tellement aimé qu’ils gardent « Fou à lier ») mais le ton est donné. Le reste est très homogène, beau et est un véritable plaisir à écouter en boucle. « Cantique » est un vrai bijou, et je me suis pris à apprécier la version longue de « La Malinche » (bien aidé par le son il faut avouer). J'ai été content de pouvoir entendre "Porte Z" et le groupe s'est littéralement donné à fond pour ce dernier concert de la tournée.
Je termine avec une mention particulière pour "Libre", un bijou de 11min, sans temps mort, littéralement enivrant par ses paroles et ses changements de rythme et son envolée finale. Coincée entre "La mort dans la pinède", "Monde nouveau" et "La Malinche", on a ici un éventail parfait de la quintessence du groupe.
J'avais ces dernières années limité mes concerts pour éviter l'overdose et le risque d’être lassé de voir plusieurs fois un même groupe (à part quelques irréductibles quand même). Il y a de grandes chance pour que Feu! Chatterton ne rentre pas dans cette catégorie.
SON
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Ayant fait les repérages la veille, j'ai pu isoler une fréquence parmi les seules 4 disponibles. Un mix techniciens (je n'ai trouvé que des mix techniciens) très équilibré, avec une vraie belle stéréo !
La voix d'Arthur peut sembler légèrement en retrait, j'ai essayé de la pousser un peu mais on perdait en clarté, et le sorte d'écho sur sa voix était renforcé. Je n'ai donc pas touché. J'ai juste complété avec le deuxième feed fait en même temps sur "L'affiche rouge" pour avoir un peu plus d'instruments.
Deuxième feed qui n'était pas totalement propre (soucis récurrent sur certains enregistrements avec mon récepteur) et n'apportait au final pas de mieux par rapport au feed principal. Avec le recul, j'aurai dû me forcer à faire une audience ce qui aurait été plus intéressant je pense pour une matrix et aurait certainement permis de pouvoir pousser un peu plus la voix sans que cela ne porte préjudice au son global.
Un son excellent, clean, avec une stéréo très agréable, surtout sur les guitares que j'ai pu entendre cette fois (Beaucoup de frissons sur le solo de « L’amour dans la pinède ») contrairement à mes précédents concerts où le son avec l'audience seule, cela donnait lieu à de la bouillie. Ici, on apprécie toutes les subtilités de chaque instrument et c'est un vrai régal ! Le son des clavier est lui plutôt équilibré, la stéréo n’est présente que sur la guitare.
Feed technicien oblige, il y a tout de même deux écueils : une absence de public pendant les morceaux. Le son des micros d'ambiance n'est ouvert qu'entre les morceaux ce qui peut donner une impression un peu froide à l'écoute. Et un peu de blablas, mais heureusement très peu pour ce dernier concert de la tournée, contrairement au concert de la veille, et uniquement entre les chansons. Seule exception, "Sari d'Orcino", dont j'ai fait deux versions : une première avec le son non retouché, une deuxième avec des patchs du concert de la veille. Et en bonus, j'ai mis également la version complète du concert de la veille.
Un peu de métronome aussi sur certains morceaux mais très léger.
Enregistré par Bedoc, encodé le 26 janvier 2023
Soutenez le travail de vos artistes préférés, achetez leurs disques, allez à leurs concerts !
18 janvier 2023
Olympia
Paris, France
IEM (153:17)
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01. Intro
02. Compagnons
03. Côte Concorde
04. Laissons filer
05. Boeing
06. Ecran total
07. Cantique
08. Avant qu’il n’y ait le monde
09. La mort dans la pinède
10. Libre
11. Monde nouveau
12. La Malinche
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13. L'affiche rouge (Léo Ferré cover)
14. L'homme qui vient
15. Trans-Europe Express (Kraftwerk cover) (with Arnaud Rebotini)
16. Porte Z
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17. Sari D'Orcino
18. Sari D'Orcino (17 janvier 2023 - Paris, France - Olympia)
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IEM (stéréo) > Tascam DR-2D
GENERATION
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.WAV[16/44.1kHz] > .FLAC [16/44.1kHz]
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USB > Adobe Audition CC 2014 > iZotope RX 4 > CD Wave Editor 1.98 > Trader's Little Helper 2.7.0
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Est-ce possible de tomber amoureux deux fois d'un même groupe ? Après un premier album magistral, le deuxième m'avait clairement laissé sur ma faim.
J'ai failli ne pas profiter de cette tournée, ayant dû renoncer à la dernière minute au premier Olympia prévu en début de tournée et n'ayant pas fait l'effort de me déplacer au Zénith. Privilège de parisien, la séance de rattrapage m'a permis de ne pas passer à côté de cette superbe tournée. Et même en ayant écouté l'album live sorti quelques semaines avant, il faut le voir pour l'apprécier à sa juste valeur.
J'avais eu un avant-goût en faisant des repérages la veille, mais il est clair qu'aujourd'hui sur scène, Feu! Chatterton a pris une nouvelle dimension ! C'est étonnant mais je n'avais pas forcément été emporté par le dernier album. Et pourtant, en écoutant les lives, petit à petit, on prend conscience de ce que le groupe construit et propose sur scène. Des ambiances, des rythmes et des chansons qui s'étirent et qui nous immerge totalement. Adepte des setlist, on remarque que le deuxième album n'a pas survécu longtemps, réduit à peau de chagrin. L'entrée en matière avec "Côte Concorde" est peut-être un peu abrupte (j’aurai tellement aimé qu’ils gardent « Fou à lier ») mais le ton est donné. Le reste est très homogène, beau et est un véritable plaisir à écouter en boucle. « Cantique » est un vrai bijou, et je me suis pris à apprécier la version longue de « La Malinche » (bien aidé par le son il faut avouer). J'ai été content de pouvoir entendre "Porte Z" et le groupe s'est littéralement donné à fond pour ce dernier concert de la tournée.
Je termine avec une mention particulière pour "Libre", un bijou de 11min, sans temps mort, littéralement enivrant par ses paroles et ses changements de rythme et son envolée finale. Coincée entre "La mort dans la pinède", "Monde nouveau" et "La Malinche", on a ici un éventail parfait de la quintessence du groupe.
J'avais ces dernières années limité mes concerts pour éviter l'overdose et le risque d’être lassé de voir plusieurs fois un même groupe (à part quelques irréductibles quand même). Il y a de grandes chance pour que Feu! Chatterton ne rentre pas dans cette catégorie.
SON
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Ayant fait les repérages la veille, j'ai pu isoler une fréquence parmi les seules 4 disponibles. Un mix techniciens (je n'ai trouvé que des mix techniciens) très équilibré, avec une vraie belle stéréo !
La voix d'Arthur peut sembler légèrement en retrait, j'ai essayé de la pousser un peu mais on perdait en clarté, et le sorte d'écho sur sa voix était renforcé. Je n'ai donc pas touché. J'ai juste complété avec le deuxième feed fait en même temps sur "L'affiche rouge" pour avoir un peu plus d'instruments.
Deuxième feed qui n'était pas totalement propre (soucis récurrent sur certains enregistrements avec mon récepteur) et n'apportait au final pas de mieux par rapport au feed principal. Avec le recul, j'aurai dû me forcer à faire une audience ce qui aurait été plus intéressant je pense pour une matrix et aurait certainement permis de pouvoir pousser un peu plus la voix sans que cela ne porte préjudice au son global.
Un son excellent, clean, avec une stéréo très agréable, surtout sur les guitares que j'ai pu entendre cette fois (Beaucoup de frissons sur le solo de « L’amour dans la pinède ») contrairement à mes précédents concerts où le son avec l'audience seule, cela donnait lieu à de la bouillie. Ici, on apprécie toutes les subtilités de chaque instrument et c'est un vrai régal ! Le son des clavier est lui plutôt équilibré, la stéréo n’est présente que sur la guitare.
Feed technicien oblige, il y a tout de même deux écueils : une absence de public pendant les morceaux. Le son des micros d'ambiance n'est ouvert qu'entre les morceaux ce qui peut donner une impression un peu froide à l'écoute. Et un peu de blablas, mais heureusement très peu pour ce dernier concert de la tournée, contrairement au concert de la veille, et uniquement entre les chansons. Seule exception, "Sari d'Orcino", dont j'ai fait deux versions : une première avec le son non retouché, une deuxième avec des patchs du concert de la veille. Et en bonus, j'ai mis également la version complète du concert de la veille.
Un peu de métronome aussi sur certains morceaux mais très léger.
Enregistré par Bedoc, encodé le 26 janvier 2023
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